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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2258449

ABSTRACT

Following COVID-19 pandemic, rationning in intensive care unit (ICU) became common. This can lead to delay ICU admissions of severe patients and affect global prognosis. we aimed to assess clinical characteristics and outcomes of COVID-19 patients requiring ICU admission in terms of hospitalisation's delay. This study was performed at the zaghouan's hospital ICU, a 10-bed secondary ICU in Tunisia. It was a retrospective observationnal study including all severly COVID-19 patients admitted between March 20th, 2020 and February 15th, 2022. 2 groups were identified : Early ICU transfer (G1) was defined as admission within 48 hours of hospital stay, and late transfer (G2) was defined as an admission after 48 hours of hospital stay. During the study period, 1609 patients had required hospitalisation in our hospital, among them 365 (22.7%) were secondary transfered to ICU. A total of 163 patients were included in G1 and 202 patients were assigned to G2. Comorbidities were similar between the 2 groups. Mean ages were respectively 54.7+/-14.8 vs 58+/-12.5 years (p=0.019). Means SAPS II and APACHE II scores were respectively 22.3+/-9 vs 24+/-8.5 (p=0.03) and 7.5+/-4 vs 7.6+/-4.5 (p=0.8). On ICU admission, PaO2/FiO2 was higher in G1 (137+/-84mmHg vs 128+/-77 mmHg, p=0.4). There was no difference in ventilatory strategy between the two groups. Need for tracheal intubation was lower in G1 (37.4% vs 44%) (p=0.25). Length of ICU stay was similar in two groups (8.8+/-3.4 days vs 9+/-4.5 days). In-ICU mortality was significantly lower in G1 (35.6% vs 48.5%;p=0.028). Delay of ICU admission was associated with higher mortality. Better organizaion was needed to establisch optimal decision-making process.

2.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2258448

ABSTRACT

Tunisia, like many countries, was confronted to the unprecedented COVID-19 pandemic. Home oxygen therapy, classically proposed for chronic respiratory insufficiency, was a real solution to high pressure on health system. to evaluate feasability and safety of home oxygen therapy after discharge from intensive care unit (ICU) in severely ill COVID-19 patients. we conducted a prospective, observational, single- center study between October 2020 and December 2021. We included patients, with confirmed SARS-CoV-2 pneumonia, requiring home oxygen therapy after their discharge from intensive care unit of Zaghouan's Hospital (Tunisia). Home oxygen therapy is offered to eligible patients after clinical improvement and still requiring nasal oxygen therapy less than 6 L/min. After their consent, patients and their caregivers were instructed on using concentrator and monitoring pulse oxygen saturation. A daily telephone follow-up was fulfilled. Twenty patients were enrolled. Median age was 54.5 [28-68] years, 60% pas de pourcentage si nb inf a30 were male. At least one comorbidity was observed in 11/20 patients. Hypertension (7/20), COPD (4/20) and diabetes mellitus (3/20) were the most common associated risk factors. Among the cohort and during their hospital stay all patient were under mechanical ventilation. Median length of ICU stay was 14 [2-33] days. Median rate of oxygen flow, at the moment of hospital discharge, was 2.9 [2-5] L/min. Oxygen therapy was required for a median of 26 days [6-90]. No deaths or urgent unplanned hospitalization were reported during the follow-up period. Early discharge of oxygen-requiring COVID-19 patients after an ICU stay was safe and effective.

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):147, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586618

ABSTRACT

Introduction La ventilation non invasive (VNI) est actuellement considérée comme une approche alternative dans la gestion ventilatoire du syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) chez les patients COVID-19. Évaluer la faisabilité et l’efficacité de la (VNI) dans la stratégie ventilatoire des patients atteints de COVID-19 nécessitant une admission en unité de soins intensifs. Méthodes Étude rétrospective incluant les patients admis pour prise en charge d’une pneumonie secondaire au Sars-Cov2 confirmée avec un rapport P/F inférieur à 300. La VNI était le support ventilatoire initial avec les paramètres suivants : FiO2 pour un objectif de saturation≥92 % ;AI : 8–10 et PEP : 6–10, 3 séances par jour avec une durée totale de 18h/24h. L’étude s’est déroulée au service de réanimation de l’hôpital régional de Zaghouan (Tunisie) du 1er novembre 2020 au 31 juillet 2021. L’échec de la VNI était défini par le recours à l’intubation. Résultats Durant la période d’étude, 170 patients répondaient aux critères d’inclusion. L’âge moyen était de 56±11,7 ans avec un sex-ratio de 1,54. Quatre-vingt patients étaient obèses. Les scores moyens IGSII et APACHEII étaient de 29,4±8 et 10±4 respectivement. Les comorbidités les plus fréquentes étaient : le diabète (40 %) et l’hypertension artérielle (33 %). Le délai entre l’apparition des symptômes et l’admission en réanimation était de 8±3,4jours. Le rapport P/F à l’admission était 135±60. Le SDRA était classé sévère chez 56 patients, moyen chez 95 patients et léger chez 17 patients. Le décubitus ventral était pratiqué chez 118 patients. L’étendue des lésions était supérieure à 50 % du parenchyme pulmonaire chez 88 % des patients. Une surinfection bactérienne était documentée chez 70 patients. Le recours à la ventilation mécanique était inévitable chez 70 patients. Le taux de mortalité était à 40 %. Dans une analyse univariée, l’échec de la VNI était associée de manière significative à une forme sévère du SDRA (p<0,05), l’étendue scannographique des lésions supérieure à 75 % (p=0,004), la non adhérence au décubitus ventral (p<0,05) et la surinfection bactérienne (p<0,05). Dans une analyse multivariée, deux facteurs indépendants prédictifs de l’échec de la VNI ont été trouvés : la sévérité de SDRA (OR : 11 [3,6–33] ;p<0,05) et la surinfection bactérienne (OR : 1,64[0,7–3,9] ;p=0,03). Conclusion Cette étude suggère l’efficacité et la faisabilité de la VNI chez les patients atteints de Covid-19. Elle est associée à une réduction du taux de l’intubation et de la mortalité globale.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):57, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586582

ABSTRACT

Introduction L’oxygénothérapie par canule nasale à haut débit (HFNC) s’est avérée utile dans le traitement des patients atteints du syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) éventuellement celle secondaire à la Covid-19. Elle peut retarder la décision et le moment d’intubation. Récemment un indice d’oxygénation (indice ROX) est proposé pour prédire le recours à une ventilation mécanique invasive (VMI). Objectif Évaluer la capacité de l’indice ROX pour prédire la nécessite d’une VMI. Méthodes Étude rétrospective observationnelle qui s’est déroulée au service de réanimation de l’hôpital régional de Zaghouan entre le 1er janvier 2021 et le 31 juin 2021. Ont été inclus tous les patients confirmés positifs au COVID-19 avec une durée de séjour supérieure à 48h et qui ont été mis sous HFNC au cours de l’hospitalisation. L’index de ROX était calculé à H4 après l’admission. Deux groupes ont été identifié : G1 ceux qui n’ont pas eu une VMI et G2 ceux qui ont eu une VMI. Résultats Durant les 6 mois de l’étude, 124 patients répondaient aux critères d’inclusion : 78 dans G1 et 46 dans G2. L’âge moyen était de 56±11 ans avec un sex-ratio de 1,2. En comparant les deux groupes, les caractéristiques démographiques, les scores de gravité : IGS II et APPACHE II, l’aspect et l’étendue des lésions scanographiques étaient similaires. Le rapport P/F était significativement plus élevé dans G1 que dans G2 (151±55 versus 109±60 ;p<0,05). L’incidence du SDRA sévère dans G2 était plus fréquente (57 % versus 43 %, p=0,006). Le décubitus ventral était plus toléré chez les patients du G1(60 % versus 20 %, p<0,05). La tolérance à la HFNC était meilleure chez les patients de G1. L’indice Rox moyen à l’admission était de 5±2, avec une différence significative entre G1 et G2 (6,28±2,45 vs 3,15±0,9 ;p<0,05). Un indice Rox inférieur à 4,3 était un facteur prédictif de l’intubation (sensibilité 75 %, spécificité 87 %), air sous la courbe ROC à 0,91 (0,86–0,96 avec p<0,05). La durée de séjour était plus longue dans G2 (11,5±5 versus 6,7±3,7 ;p<0,05) avec une mortalité intra-hospitalière plus élevée (p<0,05). Dans l’analyse multivariée, un indice ROX inférieur à 4,3 (OR=2,5 (1,3–4,8) p<0,05), Un rapport PaO2/FiO2 inférieur à 100 (OR=0,96 (0,94–0,99), p=0,012) ainsi qu’une mauvaise tolérance à la HNFC à l’admission (OR=4,5 (2–6,3), p=0,003) étaient corrélés au recours la VMI (OR=9,9 (0,94–0,99), p=0,012). Conclusion Un indice Rox inférieur à 4,3 parait être prédictif d’une évolution vers l’intubation des patients Covid-19 en milieu de réanimation.

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